Digital Therapeutics

Réalité virtuelle et questionnaire, piliers des DTx

Si l'essentiel des thérapies digitales se concentre sur les problématiques de santé mentales, elles ne s'y limitent pas. Les DTx peuvent aussi être utilisés pour aider à soigner les maladies chroniques, les Troubles du Comportement Alimentaires, les cancers, les problèmes gastriques, urologiques et aider dans la prise en charge de la douleur.

Publié le mercredi 12 mars 2025 à 18h26

DTx

Revue de littérature : efficacité clinique, modèles de validation et rôle de l’IA dans les DTx

Les DTx permettent la prise en charge des maladies chroniques et mentales, avec des preuves croissantes de leur efficacité clinique. Cependant, leur adoption massive est freinée par des défis réglementaires, éthiques et technologiques. L’avenir des DTx dépendra de leur capacité à surmonter ces défis tout en continuant à démontrer leur valeur ajoutée par rapport aux approches traditionnelles.

Publié le mercredi 12 mars 2025 à 17h37

IA
DTx

Cartographie des DTx disponibles en France : les solutions pour les troubles mentaux et les maladies chroniques sont les plus représentées

Accompagnement digital pour la gestion du stress et du bien-être mental, renforcer les capacités cognitives des patients souffrant de pathologies neurologiques, renforcer le plancher pelvien pour prévenir ou traiter l’incontinence urinaire... au moins 40 solutions de thérapies numériques (DTx) sont utilisées en France.

Publié le mercredi 12 mars 2025 à 17h36

DTx

Endométriose : une étude montre que Lyv Endo permet de réduire l’anxiété et la dépression chez les patientes qui l’utilisent (JMIR)

Moins d'anxiété, de dépression, de ballonnements et de douleurs neuropathiques grâce à l'application Lyv Endo : c'est ce qu'a montré une récente étude qui avait pour objectif de mesurer l’impact de l'accompagnement digital sur la gestion de leurs symptômes et la qualité de vie des patientes souffrants d’endométriose.

Publié le mardi 11 mars 2025 à 11h18

Femtech

Singapour / Diabète : une application d’e-ETP pour prévenir l’ulcère du pied

Informer, conseiller et faciliter les patients diabétiques sur le sujet de l’ulcère du pied qui est l'une des complications les plus graves du diabète et qui est pourtant tardivement détectée : telle est l'ambition de l'application Wellfeet développée par le National Heathcare Group (NHG) de Singapour et qui propose des contenus éducatifs relatifs à cette complication.

Publié le vendredi 12 avril 2024 à 17h29

International
Diabète
DTx

DTx / USA : des essais cliniques encore peu représentatifs de la population générale (The Lancet)

La grande majorité des essais cliniques concernant les thérapies numériques (DTx) sont de courte durée (1 an en moyenne), ce qui ne permet pas de mesurer pleinement l'efficacité de ce genre de thérapies sur le long terme : c'est l'une des conclusions d'une étude* réalisée par l'université de Californie (San Francisco) et publiée dans The Lancet Digital Health.

Publié le vendredi 22 mars 2024 à 14h43

DMN
Recherche

Étude : retour sur 20 ans de publications relatives aux technologies numériques de santé (JMIR)

« Malgré la réussite avérée des systèmes d'intelligence artificielle dans diverses études médicales rétrospectives, un nombre relativement limité d'outils d'IA ont été mis en œuvre dans la pratique médicale », relèvent les auteurs de l'étude.


Des chercheurs de l’université d'Oxford (Angleterre) ont mené la première étude visant à étudier de manière systématique l'utilisation des technologies numériques de santé pour mesurer leurs résultats cliniques à l'aide de données générées par les patients. Globalement, le nombre d’essais incluant des données probantes avec des types de technologies variées n’a cessé de croître mais les chercheurs estiment nécessaire de mener des recherches plus rigoureuses pour démontrer si la capture des données améliore vraiment la santé des patients.

Les résultats de cette étude* ont été publiés le 11 octobre 2023 dans la revue Journal of Medical Internet Research (JMIR).

Afin de mener leur analyse, les chercheurs ont pris en compte les études publiées entre 2000 et 2022 dans lesquelles des données numériques sur la santé ont été collectées, passivement ou activement. Sur 11 015 publications identifiés, 510 études ont été retenues : elles portaient sur 169 pathologies dans plus de 20 domaines thérapeutiques et étaient issues de 44 pays.

📌 Principaux résultats :
• les données les plus utilisées pour la recherche concernaient la santé mentale et les toxicomanies (21,8 %), suivies de la neurologie (15,3 %) et des maladies cardiovasculaires (13,9%) ;
• le type de technologie numérique le plus courant était les applications mobiles, présentes dans environ la moitié des études.

Concernant l'intelligence artificielle (IA), les auteurs des travaux constatent une augmentation de l'utilisation de l'IA dans le corpus de recherche ciblé sur la période 2018-2021. « Malgré les progrès de la recherche sur l'IA et la réussite avérée des systèmes d'intelligence artificielle dans diverses études médicales rétrospectives, un nombre relativement limité d'outils d'IA ont été mis en œuvre dans la pratique médicale », précisent-ils.

La santé numérique, un champ de recherche dynamique

Le 11 octobre 2023, la Food and drug administration (FDA) américaine a annoncé la création d'un nouveau comité consultatif sur les technologies de santé numérique (voir article H&TI ici). Sa mission : aider le régulateur américain à "explorer les questions complexes, scientifiques et techniques liées à la santé numérique, telles que l'intelligence artificielle, l'apprentissage automatique, la réalité augmentée, la réalité virtuelle, les thérapies numériques, la télésurveillance médicale...".

Le champ est vaste : l'utilisation des technologies numériques dans les essais cliniques s'est considérablement développée depuis 2000, à un rythme de 34 % par an. Pour défricher ce large champ, les experts de ce tout nouveau comité vont pouvoir consulter les résultats d’une étude systématique sur l'utilisation des technologies numériques de santé.

Une large étude sur l'évolution de la littérature, les domaines thérapeutiques traités...

Des chercheurs de l’université d’Oxford ont en effet publié le 11 octobre 2023 dans le Journal of Medical Internet Research (JMIR) les résultats d’une large étude aux multiples enjeux :

  • Comment la nature des publications de cette littérature a-t-elle évolué au fil du temps ?
  • Pour quelles maladies et quels domaines thérapeutiques les résultats cliniques sont-ils mesurés à l'aide de technologies numériques de santé ?
  • Comment l'utilisation de différentes technologies numériques de santé pour mesurer les résultats cliniques dans le monde réel a-t-elle évolué au fil du temps ?

Le champ d’investigation était important car ces données réelles sont de plus en plus utilisées par l'industrie pharmaceutique pour évaluer les résultats des patients, soutenir les approbations réglementaires, étudier des profils de patients toujours plus diversifiés ou des populations de maladies rares, faire un lien entre le prix des traitements et leur efficacité ou encore rationaliser l'utilisation des ressources.

Les régulateurs et les payeurs sont aussi très friands de ces données exigeant des fabricants qu'ils démontrent la valeur ajoutée de leurs produits à l'aide de données réelles. Les données de vie réelle peuvent inclure des résultats cliniques, économiques, des mesures rapportées par les patients et des éléments sur la qualité de vie.

Afin de mener leur analyse, les chercheurs ont pris en compte les études publiées entre 2000 et 2022 dans lesquelles des données numériques sur la santé ont été collectées, passivement ou activement.

Résultats : la santé mentale avide de données de vie réelle

  • Sur 11 015 publications identifiés, 510 études ont été retenues.
  • Elles portaient sur 169 pathologies dans plus de 20 domaines thérapeutiques et étaient issues de 44 pays.
  • Les données les plus utilisées pour la recherche concernaient la santé mentale et les toxicomanies (21,8 %), suivies de la neurologie (15,3 %) et des maladies cardiovasculaires (13,9%).
  • Le type de technologie numérique le plus courant était les applications mobiles, présentes dans environ la moitié des études. Les ingérables ne sont apparus qu'en 2013. Les données étaient rares sur les implantables, les moniteurs électroniques de médicaments et les biocapteurs environnementaux.
  • Les données physiologiques étaient les plus souvent collectées (37,1 %), suivies des données sur les symptômes cliniques (36,9 %) et des données comportementales (33,5 %).

L'IA : des études mais peu d'outils dans la pratique

Depuis 2018, la croissance du nombre d'études - et du nombre de technologies utilisées - semble avoir commencé à se stabiliser. Toutefois, la période 2018-2021 a été marquée par une augmentation de l'utilisation de l'IA dans ce corpus de recherche. Et sur ce point, les auteurs de l’étude précisent que « malgré les progrès de la recherche sur l'IA et la réussite avérée des systèmes d'IA dans diverses études médicales rétrospectives, un nombre relativement limité d'outils d'IA ont été mis en œuvre dans la pratique médicale ».

Enfin, même si le panorama décrit est très large, il permet de dresser une photographie de l’existant mais pas vraiment de tirer de conclusion. Pour mesurer finement l’impact de ces technologies sur la santé, les auteurs estiment « nécessaire de mener des recherches plus rigoureuses qui vont au-delà de la validation de la technologie pour démontrer si des données robustes du monde réel peuvent être capturées de manière fiable auprès des patients dans leur vie quotidienne et si leur capture améliore les résultats pour les patients ».

Publié le mardi 09 janvier 2024 à 08h00

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Douleurs chroniques : les DTx de Jolly Good (Japon) seront disponibles sur le casque VR d’Apple

Apporter une alternative aux opioïdes pour le traitement des patients souffrants de douleurs chroniques, telle est l'ambition de la start-up japonaise, Jolly Good, spécialisée dans le développement de dispositifs médicaux alimentés par la réalité virtuelle (VR) et l'intelligence artificielle (IA), qui vient de conclure un partenariat avec Apple, pour rendre disponibles ses thérapies numériques (DTx) dans le futur casque VR du géant de la tech californien.

Une collaboration et une expansion en Amérique du Nord

Dans un communiqué en date du 1er novembre 2023, les deux entités ont annoncé une collaboration qui va débuter en même temps que le développement du casque "Apple Vision Pro" - dont la sortie en Europe devrait être repoussée au second semestre 2024 - afin de mettre en place un programme de thérapie cognitivo-comportementale en réalité virtuelle (CBT-VR) visant à traiter les douleurs chroniques d'une manière autre qu'avec des opioïdes.

Le développement de cette thérapie virtuelle va se faire en collaboration avec John D. Otis, professeur agrégé de recherche au département de psychologie et de neurosciences de la Boston University School of Medicine.

Cette collaboration a aussi débouché sur la création d'une filiale nord-américaine de la start-up japonaise, Jolly Good US, qui va permettre à Jolly Good de poursuivre l'expansion de ses activités en Amérique du Nord et de commercialiser ses thérapies VR sur le marché américain

Rendre les a TTC accessibles à tous les patients

Alors qu'aux États-Unis, le nombre de personnes dépendantes des opioïdes en raison de la consommation continue d'analgésiques a atteint 11,4 millions et que les décès dus à la dépendance aux opioïdes sont devenus un problème social dans le pays, les thérapies de réalités virtuelles de Jolly Good doivent être utilisées pour permettre aux patients d'apaiser leurs douleurs chroniques tout en réduisant ou arrêtant totalement leur consommation d'opioïdes

Pour ce faire, cette CBT-VR doit être utilisée en tant que thérapie cognitive-comportementale (TCC) visant à permettre aux patients de "réévaluer la façon dont ils se sentent et font face à la douleur, et de la gérer de manière appropriée".

La "réalité mixte" pour atténuer la douleur

Les thérapies virtuelles de Jolly Good prennent la forme de vidéo à 360 degrés qui ont pour objectif d'atténuer la douleur des patients grâce à une "réalité mixte" qui fusionne le virtuel et le réel sur la base du concept d'"informatique spatiale". Ce dernier crée une expérience informatique immersive et interactive.

Pour le professeur John D. Otis, "la TCC […] est une approche extrêmement efficace pour améliorer la qualité de vie quotidienne des personnes souffrant de douleur chroniques, car elle enseigne aux patients diverses compétences pour gérer plus efficacement la douleur qu'ils ressentent", mais, ajoute-t-il, "le nombre de professionnels qui fournissent le traitement est limité par rapport au nombre de patients". Avant de conclure : "L'approche basée sur la réalité virtuelle de Jolly Good permet à n'importe qui, n'importe où, de faire l'expérience de la TCC de manière interactive et réaliste".

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Publié le vendredi 24 novembre 2023 à 08h00

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US / DTx : une étude souligne la fragilité des preuves cliniques en termes de rigueur et d’inclusion

De nouvelles recherches montrent que les preuves cliniques derrière les thérapies numériques (DTx) prescrites aux Etats-Unis omettent souvent des informations cruciales sur les patients, notamment leur origine ethnique, et excluent les personnes âgées et les personnes non anglophones.

Une récente étude, publiée en novembre 2023 dans Health Affairs, menée par des chercheurs de l'Université de Californie à San Francisco, de l'Université médicale de Caroline du Sud et de l'Université Yale, a réalisé une analyse rétrospective transversale des études cliniques sur les DTx autorisées par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis, et disponibles sur le marché au 29 novembre 2022.

Au total, les chercheurs ont inclus dans leur analyse 20 DTx développées par 18 fabricants différents, avec 117 études cliniques associées aux DTx considérées dans leur échantillon.

Des biais à différents niveaux soulignés 

📌 Sur les 117 études cliniques, 94 (80,3 %) étaient interventionnelles, dans lesquelles les patients recrutés ont été assignés à des groupes utilisant des DTx et des groupes témoins, et 23 (19,7 %) étaient des cohortes observationnelles.
📌 46 DTx (39,3 %) avaient des exigences explicites de compétence linguistique pour les participants, dont 43 (93,5 %) qui exigeaient l'anglais.
📌 58 études ont rapporté l'âge des participants, avec une moyenne d'âge de 41,8 ans, et seulement 46 des 98 études non pédiatriques (46,9 %) avaient une limite d'âge supérieure.
📌 La « race », qui est un paramètre important dans les études américaines, n'était rapportée que dans 32 études (47,1 %), tandis que l'origine ethnique était précisée dans 11 études (16,2 %).

Il est à noter également que 25 % des technologies incluses dans cette étude sont destinées à la prise en charge du diabète. En outre, 81 études (69,2 %) étaient financées par les fabricants.

Selon les auteurs de l'étude, aucune des DTx n'a reçu l'autorisation de la FDA via l'approbation préalable à la mise sur le marché, voie d'examen la plus rigoureuse de la FDA utilisée pour « les dispositifs à haut risque », ou de classe III. 8 DTx n'avaient aucune étude clinique référencée dans les résumés de décision de la FDA pour l'autorisation.

Des opportunités pour renforcer les preuves cliniques

 « Dans cette analyse transversale des études cliniques sur les thérapies numériques prescrites sur ordonnance, autorisées par la FDA au 29 novembre 2022, nous avons trouvé des limitations importantes dans la rigueur des preuves », écrivent les auteurs.

Les résultats indiquent plusieurs opportunités pour renforcer la base de preuves cliniques pour ces solutions numériques, notamment :

  • pour les fabricants de DTx, afin d’entreprendre des études cliniques plus rigoureuses ;
  • et pour la FDA, afin d’élaborer des normes plus élevées de preuves d’efficacité et de sécurité.

« Bien que le nombre croissant de thérapeutiques numériques sur ordonnance autorisées par la FDA ait le potentiel d'améliorer les résultats des patients, une application stricte de normes plus rigoureuses de preuves, telles que la randomisation, la mise en aveugle et la mise en œuvre multicentrique avec une durée de suivi appropriée pour les maladies diagnostiquées ou traitées, est nécessaire pour générer de la confiance dans leur sécurité et leur efficacité », concluent les chercheurs. Et d’ajouter : « L'exclusion des personnes âgées et des personnes ne maîtrisant pas l'anglais des études cliniques sur les thérapies numériques prescrites devrait prendre fin, et des populations diverses devraient y être incluses. »

Des appels à plus d’équité dans l’adoption des DTx

Un rapport de la SAMHSA publié en juillet 2023 :

Un rapport consultatif de l'Administration des services de santé mentale et de lutte contre les toxicomanies (SAMHSA) a également souligné l'importance de l'équité en santé dans l'adoption et l'utilisation des thérapies numériques.

Le rapport, publié en juillet, indique que les DTx devraient connaître une croissance dans les années à venir. Il souligne cependant, compte tenu de leur popularité croissante aux États-Unis, l’importance de certaines considérations, telles que :

  • l'accès à la technologie ;
  • la littératie numérique ;
  • l’adaptabilité culturelle ;
  • l’accessibilité et les prix.

Le comité consultatif en e-santé de la FDA créé en octobre 2023 :

De plus, la FDA a récemment créé un comité consultatif sur la santé numérique pour soutenir les efforts visant à explorer les problèmes scientifiques et techniques liés à l'utilisation des technologies de santé numérique, y compris :

  • la télésurveillance ;
  • l'intelligence artificielle et l’apprentissage automatique ;
  • la réalité virtuelle ;
  • les thérapies numériques ;
  • et les dispositifs médicaux portables.

Publié le jeudi 23 novembre 2023 à 08h00

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